Politiques,
Politiciens,
Politis,
Vous pensiez m’échapper,
ma plume vous n’en voulez?
Politiques,
vous nous avez épuisé.
Politiques,
je ne pouvais que me retourner,
vers-vous,
pour vous étriper.
Politiques,
vous êtes des animaux,
oui Selon Aristote,
vous êtes des caniveaux.
Politiques,
tant de mensonges,
tant de politiques,
tant de piques,
tant de songes.
Politiques,
menteurs vous êtes,
prometteurs vous l’êtes,
non faiseurs vous faites.
Politiques,
amoureux vous êtes?
oui de l’argent vous l’êtes,
du pouvoir vous faites,
pour faire la fête
avec vos cliquettes.
À la charité,
vous n’êtes,
pas plus qu’un jeu d’échec.
Des lépreux vous êtes,
vos clichés,
Vous ont tenu tête.
Votre voie,
en est donc spectre.
A l’hémicycle absent,
au vote non présent,
d’une constitution,
que vous, bandes d’étripés,
modifiez comme bon-vent,
vous semble, vous comble.
Vous-nous biaisez!
Politiques que vous-êtes?
Oui vous-êtes!
Car citoyens nous sommes,
vous-nous la faites
à l’envers,
sans casquette,
sans cachette,
Juste une petite « déguisette ».
Politique vous faites,
Oh oui certes,
mais pas dans l’acte vous êtes.
Mensonge vous inspirez.
vos cliquettes,
vos sonnettes,
vos sornettes,
vous tiennent tête.
Votre sornette, en attitude hautaine,
elle vous guette.
Fidèles politiques
restez bêtes.
Car moi Sornette je suis Zen,
Simplement harassé.
Et vous Populas,
où sont vos clochettes?
Il est temps d’y jouer,
à cette fléchette;
Laquelle?
Celle qu’on met,
à l’envers vous êtes,
derrière,
vous ne tenez point tête.
Ils ont fait votre fête,
en se payant vos têtes!
POPULAS,
Êtes-vous Las,
de cette politique d’étripés
sans félicité,
aucune,
juste une témérité,
à vouloir,
nous planter.
Populas
Réveillez-vous donc
Brandissez le Glaive,
Éveillez-vous donc,
Populas?
Oui pérégrin.
éveillez-moi donc
tuez-moi,
Réveillez-moi donc.
(c) Moustapha Chein
Montréal
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